Bienvenue aux nouveaux membres de l’équipe : Mars 2025 !

Mathilde CONDON

Qui es tu ?

Je m’appelle Mathilde Condon et j’ai 22 ans. J’adore cuisiner en particulier la pâtisserie, lire et faire des randonnées à cheval en France ou à l’étranger !

D’où viens-tu ?

Je viens de Paris.

Quel est ton parcours ?

J’ai commencé par un DUT en Génie de l’environnement, puis j’ai continué mes études en faisant une L3 en Biologie des Organismes et Écologie à l’université Paris Saclay, pour finir par un Master Biodiversité Ecologie Evolution en Écologie de la Conservation sous parcours Expertise Faune et Flore au Muséum National d’Histoire Naturelle (oui l’intitulé est à rallonge !)

Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?

Depuis toute petite j’ai toujours beaucoup apprécié la nature. Je passais mes vacances et de nombreux week end à la campagne où ma mère m’a appris à reconnaître les principaux oiseaux de nos jardins.

La protection des espèces et de leurs habitats est une chose qui m’a toujours intéressée et dans laquelle j’ai souhaité m’investir pour pouvoir y contribuer plus efficacement. C’est ainsi que j’ai choisi de poursuivre mes études dans cette voie afin de pouvoir acquérir les outils et connaissances nécessaires à la protection de la faune et de la flore.

Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?

J’ai connu Picardie Nature il y a deux ans via un camarade de classe, et j’ai pu participé à la Surveillance Estivale des phoques en Baie de Somme en 2023.

Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?

Je suis stagiaire à Picardie Nature, en binôme avec Benjamin, pour une durée de 6 mois dans le cadre de mon stage de Master 2 sur l’étude des mammifères terrestres et des chiroptères (chauves-souris), indicateurs de la qualité des cours d’eau et des ripisylves. Je participe à la troisième et dernière année de cette étude pluriannuelle qui a commencé en 2023 et qui vise à étudier les paramètres structurels et typologiques des ripisylves influençant l’activité et la diversité des mammifères terrestres et des chiroptères sur le bassin Artois Picardie avec pour finalité de fournir des préconisations aux gestionnaires de cours d’eau.

Quelle est ta compétence absurde ? Dans le sens où tu sais faire quelque chose qui n’est pas donné à tout le monde, mais que tu ne peux pas mettre sur un CV.

Je connais par cœur les chorégraphies de Just Dance … quand est ce qu’on s’affronte !! :)

Benjamin HUET

Qui es tu ?

Je suis un charmant moustachu de 24 ans, aussi connu sous le nom de Benjamin Huet, qui aime lire, cuisiner, dessiner et avoir des anecdotes sur beaucoup de sujets.

D’où viens-tu ?

Je me suis échappé des marais de Heilly, proche d’Amiens.

Quel est ton parcours ?

J’ai fais une licence de biologie et physiologie cellulaire à Amiens, puis j’ai enchaîné avec une licence en écologie et biologie des populations à Amiens (j’aime cette ville), et là je finis mon master AETPF : Agroscience, Environnement, Territoires, Paysage et Forêt (oui ca fait un peu liste de courses) en parcours écologie et biodiversité toujours à Amiens ( j’aime vraiment cette ville).

Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?

Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été intéressé par la nature. Mon grand- père avait une collection d’encyclopédie animale illustrée, bien vieille, que j’aimais énormément, aux pages coupantes et tachées de mes larmes lorsqu’il s’agissait d’une espèce disparue. En grandissant ça ne m’a pas lâché. J’adorais en apprendre plus et je voulais pouvoir partager et protéger ce que je trouvais incroyable. J’ai voulu devenir un superhéros du monde mais trop dure, les pouvoirs ne sont jamais apparus... Alors en tant que bon mortel, j’ai poursuivi mes études dans ce sens, en approfondissant mes connaissances pour comprendre, et pouvoir aider à mettre en place des plans adaptés pour la protection, la conservation et pourquoi pas la restauration. J’ai également été président d’une association étudiante naturaliste afin de pouvoir sensibiliser, enseigner des connaissances aux étudiants. J’essaie d’agir à mon échelle.

Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?

OUI, étant qu’amiénois depuis quelques années, il est difficile de passer à côté. J’ai suivi leurs activités et participé à des ateliers de dissection de pelotes de réjection de rapaces.

Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?

Avec Mathilde Condon, nous formons la nouvelle ripiteam. Stagiaire pour une durée de 6 mois de bonheur, sur l’étude des mammifères terrestres et des chiroptères (chauves-souris), indicateurs de la qualité des cours d’eau et des ripisylves. Globalement, nous gambadons le long de ripisylves du bassin Artois-picardie, hop-hop-hop nous relèvons des trucs pour étudier les paramètres structurels et typologiques des ripisylves qui influencent l’activité et la diversité des mammifères terrestres et des chiroptères.

Combien de fois par jour penses-tu au Crossope aquatique ? Quand c’est le cas, dans quel contexte ?

J’y pense en per-ma-nance. Quand je cuisine (quel goût ça a ?), quand je me fais la vaisselle (nettoie t-il cette assiette comme moi avec ses petites pattes ?), et d’autres interrogations saugrenues (si j’étais mordu et devenais CrossopeMan, aurai-je des dents pointues avec du venin ? Un féroce appétit pour les vers ou les crustacés ? Serai-je capable de faire un terrier ?). Bref, c’est un peu mon Empire romain à moi.

Raphaël LAIGNIER

Qui es tu ?

Raphaël, j’ai 18 ans, et je suis un fervent amateur de sports, en particulier le football. J’aime regarder, vivre les matchs de foot avec beaucoup d’émotions. J’aime aussi cuisiner, me balader et sortir avec mes potes.

D’où viens-tu ?

Je viens de Saint-Omer en chaussée, petit village proche de Beauvais.

Quel est ton parcours ?

Je sors d’un bac général au lycée de Félix Faure où je me suis spécialisé en SVT et en Mathématiques ainsi qu’en anglais. Après avoir obtenu mon BAC, je me suis dirigé vers un BTS GPN pour pouvoir faire vivre mon envie de travailler dans l’environnement. Malheureusement, Parcoursup en a décidé autrement et j’ai été placé sur liste d’attente. Je me suis retrouvé sans école à la rentrée 2025. J’ai travaillé à l’usine en tant qu’opérateur de production et en tant que préparateur de commande. Ces expériences m’ont appris le monde du travail mais elles m’ont montré à quel point je voulais travailler en extérieur. De septembre à mars j’ai profité de mes week ends et de mes congés pour me balader et pour réaliser des missions bénévoles au sein du CEN. En mars j’ai donc eu l’heureuse surprise de rejoindre PIcardie Nature en tant que service civique.

Quel est ton lien avec l’environnement/la protection de l’environnement ?

Depuis petit, je suis dehors. J’ai accompagné mon père sur ses chantiers en forêts, mon grand-père dans le jardin. C’est de là qu’est né mon attirance pour l’environnement. Après j’ai grandi et je ne suis plus beaucoup sorti. Toutefois j’ai découvert les menaces auxquelles étaient exposées certaines espèces que j’appréciais, lynx, éléphant, gorille dos argenté… Je me suis donc informé et de ce fait est né une envie de protéger ces espèces à enjeux. Depuis, je multiplie les sorties, randonnées , les expositions et évènements sur la nature.

Connaissais-tu Picardie Nature avant d’arriver ?

J’ai découvert Picardie Nature lorsque je cherchais les structures de protection de l’environnement pour pouvoir réaliser un BTS GPN en alternance.

Quelles sont tes missions à Picardie Nature et pour combien de temps ?

Je suis en service civique sur la mission Busard. Je serai chargé de protéger cette espèce menacée par la moisson des parcelles agricoles.

Si tu pouvais choisir un super pouvoir, lequel serait-il et pourquoi ?

J’aimerai avoir le pouvoir de communiquer dans toutes les langues possibles et de communiquer avec toutes les espèces du vivant (animaux,arbres,bactéries).